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Maxence Cyrin

Originaire de Besançon, Maxence Cyrin passe son enfance derrière un piano à étudier la musique classique. Il passe par le conservatoire et se constitue une solide assise musicale. Arrive rapidement l’adolescence et son inévitable lot de changements. Le jeune pianiste compose alors ses premiers morceaux, sombres et fantaisistes. Fan de new wave et d’electro-industriel, il enregistre ses premières maquettes dès 18 ans dans ce style qu’il approfondira jusqu’à ses 25 ans. En parallèle, il découvre la techno et les premières raves. Un mouvement dans lequel il s’engouffre et auquel il participe activement, sortant plusieurs maxis sur différents petits labels comme Rave Age, Superstition ou PCP.
Ses 25 ans marquent un nouveau départ. Il quitte la Franche-Comte pour venir s’installer à Paris. Il découvre Burt Baccharach et devient fan d’Elvis. Il succombera ensuite aux Beach Boys avant de s’immerger à nouveau dans la musique classique et l’opéra.
Sa fascination pour les crooners l’amène également à se livrer à diverses performances, que ce soit à Radio Nova où il devient portraitiste chantant ou dans des soirées branchées, comme au désormais célèbre Baron qui l’accueille comme crooner résident. Il compose même une comédie musicale, Les valets de la hype, qui sera jouée sur Paris au début de l’année 2005.
Depuis deux ans, il réécoute de la new-wave et beaucoup de techno dont il s’amuse à reprendre les standards au piano. L’interprétation fonctionne à merveille et donne naissance à quelques lives remarqués (Centre Pompidou, Tapis Rouge, Calvi on the rocks…) et un premier enregistrement pour la compilation Megasoft Office 2005 suite à une rencontre avec Laurent Garnier dont il revisite le mythique Acid Eiffel.
Il ne faudra pas longtemps pour que l’idée d’un album s’impose, le premier disque 100% acoustique du label.

bio officielle

 

Site officiel : http://www.fcom.fr/maxencecyrin/

Maxence Cyrin - modern rhapsodies - F Communicationsmodern rhapsodies [F Communications]
Qui va piano...
Quelques classiques de la techno sont ici revisités (Acid Eiffel de Choice, the meltdown de Lunatic asylum, L.F.O par L.F.O) avec pêle-mêle d’autres titres ( Unfinished Sympathy de Massive Attack, Go de Moby) à la périphérie du genre, impossible à ignorer aujourd’hui et dont on célèbre ici les racines et l’imprégnation dans la culture de masse. Si vous êtes nostalgique d’une époque où votre discographie ou vos coups de c... (en savoir +)