1999-2005
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V /A - MAXIMUM CHILLOUT

escape and unwind

[maximum chillout]

MAXIMUM CHILLOUT - escape and unwind [maximum chillout]

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{Lol Hammond B.Boy is back ! Avec une joie non dissimulée on retrouve Lol Hammond (moitié de feu-The Drum Club avec Charlie Hall) et Nina Wash au chant, mi-scansion, mi-plainte pour ce baby piano.
On laissera de côté Thick D ( Insatiable c’est Amanda Lear rattrapée par les années wizzz) et Moby fireworks . Tout en étant sûr qu’on n’achètera pas ce disque pour ces deux titres ( non vraiment pas !) leur présence est paradoxalement un signe de « bonne » conduite pour tout le reste du projet dans lequel les instrumentaux reprennent le pouvoir avec leurs déluges de piano, cascades de batteries sèches (Soundsource dusk till dawn, PcSynergy et Somewhere Else)) , lignes de basses amples mais pas surdimensionnés et globalement peu de vocoder ou d’instrumentation surnuméraire.
Sans vouloir non plus trouver ce qu’il n’y a pas sur cette compilation l’ensemble révèle un grand équilibre. Une quasi certitude : les nouveaux (Ercola déjà entendu chez Tellé et Warp) devraient sortir de confortables albums. Il est facile de se laisser happer par Metamorph, Erfling, Soul Searchers et Masdafarai soit quatre émanations de Daniel Massie pour un dub syncopé, par Centro 53et son Takoi Beach instrumental accrocheur sur le même tempo que le Sparks des Royksopp. Karanyi (mini B) s’en prend à la bossa mais sans la basse, laissant planer quelques vapeurs à la Air. Ercola se fait interlude d’ambient aux nappes longues( à la Pete Namlook) et investies de piano.
Maximum chillout soit le plus court chemin pour aller outre les débordements libidineux de « teufeurs en club» à Ibiza sur une musique ambient frivole mais pas délurée en espérant que vous soyez sensibles à la nuance. Maximum Chillout s’éloigne du concept Café Del Mar, de ce qu’il est devenu ( big traquenard electro-chic) pour retourner à ce qu’il fut : un selector libre. Pourquoi toujours vouloir retourner vers les origines et refuser les innovations, pourquoi une fois de plus célébrer les lieux hantés par les héros du passé pour ce qu’ils ont été plus que le présent ( le meilleur serait toujours à venir paraît-il)? Une réponse toute simple, contenue dans le sous-titre de cette compilation : Escape and unwind : échappez-vous et laissez (dé)rouler. }

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